Medora lance « Ï »
Boîte Béluga présente

Medora lance « Ï »

Événement en personne
31 août 2017
21h00 – 23h00 / Entrée: 20h00

228, St-Joseph Est, Québec, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Boîte Béluga à info@boitebeluga.com.

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Medora

Le groupe de Québec Medora s’apprête à dévoiler le 25 août prochain «Ï», son premier album complet. Il met la table aujourd’hui en offrant la radiante Terrasse, le premier extrait d’un long-jeu qui s’annonce polymorphe. Tantôt dramatique, tantôt romantique, on y reconnaîtra rapidement la griffe indie-rock de banlieue du quatuor: des guitares abondantes, des percussions assumées et une basse étrangement mélodique, sur lesquelles la voix de Vincent Dufour, fébrile et incantatoire, convoque le sublime. Groove, frénésie, poésie et tension sont au tableau.

Première sortie depuis la parution de son EP Les Arômes en janvier 2016, le simple Terrasse se prend comme un mirage, rappelant l’ivresse d’une journée bouillante d’été:

Je conduirai d'instinct, les yeux rivés sur ton visage
Pour mirer ta rougeur baroque
Frôlerai les corps luisants sous le plomb du Soleil

La chanson s’accompagne d’images qu’on pourra consommer à la façon d’un karaoké, avec les paroles. L'incarnation même de la nature débrouillarde du groupe, on notera que ce vidéo est signé de celui-ci. La musique, quant à elle, est une réalisation en collaboration avec le réalisateur Alexandre Martel (Mauves, Anatole, The Seasons) et du preneur de son et mixeur David Boulet Tremblay (Harfang).

Interrogé au sujet du «Ï» que le groupe arbore depuis récemment, Charles Côté (guitare, textes) nous dit : «On croit en la puissance occulte des points sur le dessus d’un "i" tréma. Ça prend au moins un point au dessus d’un I pour qu’on comprenne que c’est un I. Nous, on trouve que c’est encore mieux si il y en a deux.»
Un raisonnement qui témoigne de l’importance des symboles dans l’univers créatif de Dufour, Côté et leurs acolytes de la section rythmique, Aubert Gendron-Marsolais (batterie, percussions) et Guillaume Gariépy (basse).

Choses Sauvages

Sur scène, l'énergie de Choses Sauvages fait tout de suite oublier que tout le monde a l’air complètement con sur un dancefloor. Lorsque les guitares disco à la Chic, le groove sans bon sens de la basse et les synthétiseurs dreamy livrent leur funk boosté au punk, dépêchez-vous de caler votre bière parce que sinon votre t-shirt va sentir la vieille Labatt toute la soirée.